Maquis de Saint ANTONIN: cérémonie du 16 juin, Exposition, Conférence MENCHERINI
Appel du 18 juin: La France libre est définitivement entrée dans l'histoire
1940, l'histoire recommencée
Il est convenu d'affirmer que le calendrier des commémorations coïncide rarement avec celui de la recherche savante. Et qu'avalanche bibliographique rime fort peu souvent avec avancée historiographique. C'est à la fois vrai et faux.
Certes, la plupart des études essentielles sur "l'année noire", pour reprendre le titre de l'édition actualisée de l'excellente synthèse de Jean-Pierre Azéma, elle-même issue d'une série publiée par Le Monde à l'été 1989 (Fayard, 474 p., 21,90 €), ont paru indépendamment de tout anniversaire. C'est le cas des livres de François Kersaudy sur la bataille de Narvik (La Guerre du fer, Tallandier, 1987), d'Yves Durand sur La Vie quotidienne des prisonniers de guerre (Hachette, 1987), d'Eric Roussel sur les coulisses de la demande d'armistice (Le Naufrage, Gallimard, 2009), ou d'Olivier Wieviorka sur le vote des pleins pouvoirs à Philippe Pétain (Les Orphelins de la République, Seuil, 2001). Le cas, aussi, des biographies d'Edouard Daladier par Elisabeth du Réau (Fayard, 1993) et de Paul Reynaud par Thibault Tellier (Fayard, 2005).
Reste que les anniversaires ont aussi vu la sortie de grands livres. Ainsi, c'est en 1990 que Jean-Louis Crémieux-Brilhac a publié son étude sur Les Français de l'an 40 (Gallimard, 2 volumes). Et c'est en 2000 qu'a paru, sous la direction de Maurice Vaïsse, le panorama le plus complet des travaux consacrés par les historiens étrangers à la défaite française (Mai-juin 1940, Autrement). Qu'en est-il aujourd'hui ?
Pour répondre à cette question, il faut d'abord rappeler une évidence : contrairement à d'autres millésimes, 1940 n'est réductible ni à un événement unique capable d'en cristalliser le sens (comme la victoire en 1918), ni à un faisceau d'événements convergents (comme la fin des démocraties populaires en 1989). 1940, c'est à la fois la débâcle et le sursaut, Vichy et Londres, Pétain et de Gaulle, les débuts de la collaboration et ceux de la Résistance. Ce qui permet aux éditeurs de faire des choix. Cette année, deux tendances se dégagent.
La première est la réouverture d'un dossier ancien : celui de la défaite française. Ici, deux thèses s'affrontent. L'une, longtemps dominante, considère que la débâcle était inéluctable. Elle est à nouveau défendue aujourd'hui par Claude Quétel, dans L'Impardonnable défaite (JC Lattès, 410 p., 20 €). S'inscrivant dans la filiation d'Henri Michel (1907-1986) et de Jean-Baptiste Duroselle (1917-1994), l'ancien directeur scientifique du Mémorial de Caen brosse le tableau d'un pays ayant "conspiré à sa propre défaite". Il puise pour cela dans un argumentaire connu, élaboré en partie par le régime de Vichy, dénonçant pêle-mêle le "pacifisme outrancier" des Français, l'incurie d'une "démocratie mortifère dès que surgit l'urgence d'une grave décision", la "hantise du bolchevisme" (qui fit dire à une partie de la droite " plutôt Hitler que Blum !"), et une "doctrine militaire en retard d'une guerre".
Cette idée d'une guerre "perdue d'avance", selon l'expression de Quétel, fait l'objet depuis quelques années d'un réexamen approfondi. Il s'agit alors de montrer que le rapport de forces entre la France et l'Allemagne n'était pas aussi déséquilibré qu'on l'a dit. Sans nier la faillite du commandement ni les faiblesses de l'outil militaire français (notamment dans le domaine de l'aviation), de plus en plus d'historiens rappellent les efforts déployés par le Front populaire (1936-1938) puis par le gouvernement Daladier (1938-1940) en matière de réarmement. Et écornent, parallèlement, le "mythe" d'une Allemagne invincible.
Cette insistance sur les facteurs conjoncturels de la défaite conduit aujourd'hui Jacques Sapir, Frank Stora et Loïc Mahé à proposer une "histoire alternative", comme les Anglo-Saxons le font volontiers. Dans Et si la France avait continué la guerre... (Tallandier, 588 p., 26 €), ils s'interrogent sur les conséquences virtuelles d'une poursuite des combats en Afrique du Nord et d'un débarquement en Sardaigne. Extrapolant notamment à partir des travaux de Karl-Heinz Frieser sur Le Mythe de la guerre éclair (Belin, 2003), ils imaginent les difficultés qu'aurait rencontrées Hitler s'il avait dû, avant d'attaquer l'URSS en 1941, combattre à la fois contre l'Angleterre et au sud de l'Europe.
C'est également à cette constellation historiographique que se rattache l'étude de Dominique Lormier sur La Bataille de Stonne (Perrin, 184 p., 18 €). L'auteur, dont paraît en même temps un récit de La Bataille de France jour après jour (Le Cherche midi, 614 p., 19,50 €), cite lui aussi Karl-Heinz Frieser, qui qualifia de "Verdun de 1940" cette série de combats meurtriers qui se déroulèrent du 14 au 25 mai au sud de Sedan (Ardennes). Rendant hommage à l'intrépidité des soldats français, il conforte une idée que les spécialistes défendent plus volontiers aujourd'hui qu'hier, et que résume le titre du beau livre illustré de Christophe Dutrône : Ils se sont battus (éd. du Toucan, 222 p., 39 €).
Dans ce climat qui, d'une certaine façon, déculpabilise les Français en rejetant la faute sur leurs seules élites, militaires et politiques, il ne faut sans doute pas s'étonner du regain d'intérêt que suscite l'histoire de la France libre. C'est là, en effet, la deuxième caractéristique de l'actuelle moisson éditoriale qui, à l'inverse, est très discrète sur Vichy : un indice, peut-être, que la "repentance" n'est plus de saison, et pas seulement à l'Elysée.
Encouragés par le succès des Mémoires de Daniel Cordier, qui rejoignit Londres dès juin 1940 avant de devenir le secrétaire de Jean Moulin (Alias Caracalla, Gallimard, 2009), les éditeurs sont plus nombreux que jamais à rendre hommage aux Rebelles de l'An 40, pour reprendre le titre du beau recueil de témoignages de Georges-Marc Benamou (Robert Laffont, 376 p., 21 €). D'autant plus facilement pour certains qu'ils ont bénéficié d'un soutien institutionnel (du ministère de la défense ou de la Fondation Charles-de-Gaulle) et intellectuel : celui du meilleur spécialiste de la question, l'ancien résistant Jean-Louis Crémieux-Brilhac qui, à 93 ans, n'a pas rechigné à rédiger plusieurs préfaces - tout en décortiquant lui-même la genèse de L'Appel du 18 juin (Armand Colin, 128 p., 4,90 €).
Ce double soutien donne aujourd'hui aux Français de Londres une visibilité inédite. Celle-ci se décline à travers trois types de publications : des livres surtout destinés à célébrer la geste gaullienne (De Gaulle à Londres, de Jean-Pierre Guéno, Perrin, 144 p., 25 € ; et De Gaulle et les Français libres, d'Eric Branca, Albin Michel, 276 p., 29,90 €, avec DVD) ; des rééditions heureuses, comme celle des émissions de Radio Londres (Les Français parlent aux Français, Omnibus, 1 138 p., 29 €) ; et enfin des instruments de travail inédits.
On citera, dans cette dernière catégorie, le très utile Atlas de la France libre, de Sébastien Albertelli (Autrement, 80 p., 17 €), l'imposant Dictionnaire des Compagnons de la Libération, de Vladimir Trouplin (Elytis, 1 232 p., 49 €), et enfin le Dictionnaire de la France libre (Robert Laffont, "Bouquins", 1 632 p., 35 €).
Dirigé par François Broche, Georges Caïtucoli et Jean-François Murracciolle, ce travail monumental, auquel ont collaboré 135 historiens, est bien plus qu'une liste des hauts faits et un répertoire des héros. La variété des entrées, qui sont pour certaines de vrais petits essais (sur les idées sociales de la France libre, son financement, sa position vis-à-vis du sionisme, ou sur la mémoire gaulliste de la Résistance), est le signe que la France libre, au-delà du culte dont elle continue de faire l'objet, est définitivement entrée dans l'histoire.
COMMUNIQUE DE PRESSE: dans le cadre du travail de mémoire.
Au Collège de ROUSSET:
L' « Association Jean ZAY en Provence – Pédagogie, Mémoire et Histoire » travaille au devoir de mémoire avec les professeurs d'Histoire du Collège de ROUSSET, et organise ce jeudi 17 juin 2010 une action pédagogique dans le cadre de leur cours d'Histoire, avec le concours de différents présidents d'associations d'Anciens Combattants:
- · Madame Marie-Thérèse BRUN-CLAVERIE, président de l' Association Nationale des Anciens Combattants et Amis de la Résistance – A.N.A.C.R. Aix-Pays d’Aix ,
- · Monsieur Pierre ARBORE, président de l' Union Française des Associations de Combattants et Victimes de Guerre - Union Locale d'Aix-en-Provence
- · Messieurs Sabin CHIARIELLO, président, et Amédée BUIX, vice-président de l' Association des Anciens Combattants de Trets
Cette action commune va spécialement en direction des jeunes pour la transmission de la mémoire et des valeurs de la Résistance.
Cette séance sera ouverte à 8 heures par Mr. Jean-Louis CANAL, maire de Rousset, vice-président du Conseil Régional, vice-président de la CPA et de Mr. Roger TASSY, Conseiller général. Adresse: Collège de Rousset, v Chemin Départemental 56, Tel: 04 42 29 00 40
Une brève introduction d'un film sur Jean ZAY sera présentées par Mr. Norbert BERNARD, adjoint délégué à la Culture et au Patrimoine. L'histoire et l'œuvre de ce grand ministre sera présentée dans le film "Dans la lumière de Jean Zay" (film FR3 de 25 min par Marieke Aucante, grand reporter, chevalier de la Légion d'Honneur) et discutée ensuite au travers de questions situant l'homme dans son contexte: député radical, artisan du Front Populaire (1936-1938), réformateur de l'école, en lien avec les grandes lois sociales de juin 1936, la guerre, son engagement en 1939, la défaite, le prisonnier du gouvernement de Vichy.
Par ailleurs deux expositions auront été présentées pendant deux semaines dans la bibliothèque du Collège par l'ANACR-Aix: "Jean MOULIN" et "Résistance marseillaise"
L'essentiel de la matinée consistera en une rencontre entre les élèves de 3ème et un certain nombre de Résistants, Anciens Combattants du Débarquement de Provence, témoins et acteurs de la Résistance et de la Déportation, avec qui les élèves pourront discuter et leur poser des questions en petits ateliers.
Ont été conviés:
- pour la guerre et le Débarquement de Provence:
Madame Colette ESCOFFIER, Mr. Joe RONSMANS-DAVRAY, Mr. René HADDAD-PARFAIT, Mr. Jean ABRAHAM
- pour la vie quotidienne pendant la guerre:
Madame VAUDANO-BASTARD, Mr. Sabin CHIARIELLO, Mr. Amédée BUIX
- pour l’engagement dans la résistance:
Mr. Raymond CAMUS, Mr. Pierre GABART, Mr. Jean-Paul MARCADET, lieutenant F.F.I. Colonel de réserve honoraire.
Pour l' « Association Jean ZAY en Provence – Pédagogie, Mémoire et Histoire »
Jacques MISGUICH, Président
18 juillet 2010 : La nécropole nationale de Signes (Var)
- Le 18 juillet 1944, un jeune garçon, Joseph Call, dont les parents travaillent dans la forêt, aperçoit un car déposer 29 prisonniers
encadrés par les Allemands. Un bûcheron de Cuges, Maurice Percivalle, passant aussi par là, entend au loin La Marseillaise. Il voit les hommes creuser leurs propres tombes. Le 12 août, neuf autres résistants furent fusillés
sur le même site. Mais pourquoi ont-ils été emmenés dans ce vallon ?
- Raymond Aubrac, alors commissaire de la
République de la région – premier signataire de la pétition pour la réhabilitation de la Nécropole de Signes – a fait exhumer les corps. « Certains portaient des marques de strangulation, signes
de tortures antérieures ; des corps ont été recouverts de chaux vive. D’autres ont été enterrés vivants« . Les familles ont dû reconnaître les corps mutilés au Pharo où
ils furent transportés avant d’être inhumés à Saint-Pierre au cours d’un hommage républicain ; cinq d’entre eux n’ont jamais été identifiés. Invitation à la cérémonie du 18 juillet 2010 à 18 h au Vallon des Fusilléspar l' Association régionale des familles de fusillés et martyrs de Signes et de ProvenceMaison du Combattant - 50 Bd de la Corderie - 13007 Marseillevoir: Site de l'ANACR-Marseille:
http://www.resistancemarseillaise-r2.fr/articles.php?lng=fr&pg=523
18 juillet: Mémoire des victimes de crimes racistes de l'Etat de Vichy
Débarquement de Provence - Cérémonie Libération de Trets vendredi 25 août 2010
Qui était Vincent DELPUECH ?
Il n'était pas seulement l'homme trop succinctement décrit sur le carton d'invitation à la cérémonie, et certainement pas "maire de Peynier de 1934 à 1965", ni sénateur "jusqu'à sa mort".
Alors cela valut la peine de rechercher des informations, et de les diffuser.
A la mi-août nous avons distribué le tract suivant dans les boites aux lettres, en concluant que les actes et les écrits de Vincent DELPUECH ne valaient certainement pas qu'on lui élève une statue :
3 septembre : Le maire de Marseille Jean-Claude Gaudin appelé à renoncer à un hommage controversé
Plusieurs appels furent adressés par ses collègues au Sénateur-Maire de Marseille pour qu'il renonce à cetten inauguration.
Le journal MARSACTU publie l'article ci-dessous le 3 septembre 2010
Julien Vinzent
3 septembre 2010
Vincent Delpuech, ça vous dit quelque chose ? Voici le « CV » dressé par la mairie de Peynier dans le cadre de l’inauguration d’un buste à son effigie, samedi au boulodrome municipal: « né le 5 avril 1888. Journaliste et homme politique Français. Maire de Peynier de 1934 à 1965. Sénateur des Bouches du Rhône de 1939 jusqu’à sa mort en 1966″. Voilà. Le site internet précise également qu’aux côtés de son homologue UMP Christian Burle, on trouverait Jean-Claude Gaudin, maire de Marseille et vice-président du Sénat, s’il vous plait.
Le service de presse de la mairie phocéenne est plus précis dans le communiqué annonçant le déplacement : « journaliste, puis directeur du Petit Provençal, Vincent Delpuech donne un nouveau souffle au journal en multipliant les pages spéciales sur le sport, la culture, faisant du quotidien l’un des plus importants supports de presse du Sud-Est de la France dans l’entre deux guerre. Sénateur, et homme politique de terrain il a été le premier a jeter les bases de l’intercommunalité dans l’Est du département. »
Double jeu
Incomplet pour l’association « Jean Zay en Provence – Pédagogie, Mémoire et Histoire », qui compte dans son conseil scientifique Raymond Aubrac, grand résistant et commissaire de la République à Marseille à la Libération… »Vincent Delpuech n’a plus été maire de Peynier pendant 8 ans, entre 1945 et 1953. En effet, après les années noires de l’occupation pendant lesquelles Vincent Delpuech était maire de Peynier, grand ami de Pierre Laval, journaliste, administrateur de plusieurs journaux dont « Le Petit Provençal » et » L’Œuvre » de Marcel Déat (à l’origine du RNP, parti collaborationniste, ndlr) », il s’est vu retirer ses mandats, puis son éligibilité par un jury d’honneur.
Face à ce « torchon distribué dans [sa] commune », Christian Burle renvoie à la révision du jugement un an plus tard. « Considérant que les documents et témoignages apportés par l’intéressé à l’appui des faits nouveaux invoqués par lui apportent la preuve de sa participation personnelle, continue et substantielle à la Résistance« , le président du jury René Cassin estime qu’ils permettent de « compenser le fait d’avoir été pendant l’occupation administrateur de journaux, fait qui continue à figurer à son passif sur le plan politique« . Pour résumer : puisqu’il était résistant, Vincent Delpuech ne pouvait être collabo.
Des courriers de protestation envoyés
D’ailleurs, « personne ne s’est ému quand on a inauguré sous Gaston Defferre un boulevard à son nom à Marseille« , ajoute Christian Burle. « Nous ne contestons pas ce qui a déjà été fait. C’est le fruit d’une époque où les choses étaient très différentes. Mais l’actualité, c’est que le maire inaugure un buste 44 ans après sa mort« , répond Marie-Nicole Payet, trésorière de la structure. Cap 21 des Bouches-du-Rhône a embrayé le pas, protestant « vigoureusement contre cette dérive dans le traitement de l’histoire. » Sur le blog de l’élu à la communauté urbaine Jacques Boulesteix (groupe Faire Gagner Marseille), qui reprend l’affaire, les commentaires vont bon train, décortiquant avec précision le passé de Vincent Delpuech.
De quoi donner du poids à l’argument de Marie-Nicole Payet : « une statue, c’est hautement symbolique. Il est beaucoup trop ambivalent pour faire l’unanimité, il y a bien d’autres choses à faire que cela » . »Je n’ai jamais dit que cela ferait l’unanimité, je faisais cela par rapport à tout ce qu’il a fait pour la commune. Ce n’est pas tous les jours qu’on a un sénateur à Peynier » , balaye le maire. Et Jean-Claude Gaudin ? Lui qui était l’ami de Vincent Delpuech n’a pas réagi à la polémique, bien que « des courriers l’invitant à ne pas y aller » ont été envoyés assure Marie-Nicole Payet. « On pense que le Sénat actuel ne sera pas honoré » par sa présence, conclut-elle.Sauf que d’après Christian Burle, la famille de Vincent Delpuech envisage de porter plainte pour diffamation et « si elle le fait, je pense que la mairie de Peynier et le Sénat iront dans le même sens » , prévient-il.
Avenue de la Garenne, 13790 Peynier, France
4 septembre à Peynier: le buste de Vincent Delpuech a été inauguré.
Cyril Di Méo (5 mai 2008) "Burle réussira-t-il à installer une statue pour Vincent Delpuech ancien collabo ?" http://cyril-dimeo.over-blog.com/article-19299657.html
Cyril Di Méo (16 aout 2010) "Burle dans ses oeuvres" http://cyril-dimeo.over-blog.com/article-burle-dans-ses-oeuvres-55510662.html
Nicolas BLANC (16 août 2010) "Peynier: quand Christian Burle rend hommage à un collabo..." http://nicolasblanc.blogspot.com/2010/08/peynier-quand-christian-burle-rend.html
Achim GERTZ (17 aout 2010): "Christian Burle honore un maire plus que douteux"http://a.gertz.over-blog.com/article-christian-burle-honore-un-maire-plus-que-douteux-55561330.html
CAP 21 (17 août 2010) "CAP21 des Bouches-du-Rhône partage l'indignation de l'association Jen Zay en Provence" http://cap21.13.over-blog.com/article-cap21-des-bouches-du-rhone-partage-l-indignation-de-l-association-jean-zay-en-provence-55559163-comments.html
Jacques BOULESTEIX (1er septembre 2010 et nombreuses contributions ultérieures): "Gaudin va-t-il honorer un collaborateur ?" http://boulesteix.blog.lemonde.fr/2010/09/01/gaudin-va-t-il-honorer-un-collaborateur/
Julien VINZENT - MARSACTU (3 septembre 2010) "Le maire de Marseille Jean-Claude Gaudin appelé à renoncer à un hommage controversé" http://www.marsactu.fr/2010/09/03/le-maire-de-marseille-jean-claude-gaudin-appele-a-renoncer-a-un-hommage-controverse/
L' HUMANITE (4 septembre 2010): "Quand Gaudin préfère honorer un collaborateur" http://humanite.fr/03_09_2010-quand-gaudin-pr%C3%A9f%C3%A8re-honorer-un-collaborateur-452824 repris sur http://bellaciao.org/fr/spip.php?article105891 "L'UMP rêve de Vichy"
LA PROVENCE (5 septembre 2010): "Peynier: le buste de Vincent Delpuech réveille les douleurs de l'histoire" http://www.laprovence.com/article/region/peynier-le-buste-de-vincent-delpuech-reveille-les-douleurs-de-lhistoire
France 3 - Info Provence Alpes Muriel Gensse (5 septembre 2010): "Peynier (13): un buste polémique" (vidéo) http://mediterranee.france3.fr/info/provence-alpes/peynier13--un-buste-polemique-64698983.html
Achim GERTZ (6 septembre 2010) "Ca y est, Vincent Delpuech a sa statue à Peynier" http://a.gertz.over-blog.com/article-a-y-est-vincent-delpuech-a-sa-statue-a-peynier-56618612.html
repris sur le Réseau Eco-Démocrate: http://ecodem.cc/index.php?tri=month&search=v+DElpuech
Blog Castronovo(15 septembre 2010): "Droite extrême: Joissains, Gaudin et leurs copains" http://castronovo.canalblog.com/archives/2010/09/15/19066424.html
ainsi que sur le Blog "Trets-vrai" : http://www.tretsvrai.fr/echos_vallee.html